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Sur les routes de nos rêves

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4 août 2014

Lac Titicaca et Puno

Un petit mot sur le bus; à notre arrivée à Puno, nous avons décidé de refaire quelques trous additionnels dans le p.... de FAP mais sans résultats.

Puno en tant que tel, ne mérite pas les 3 jours que nous y avons passé, mais because la fête nationale nous avons dû attendre pour aller faire l'assurance obligatoire au Pérou. Assurance qui couvre seulement les torts causés aux personnes et non pas aux véhicules. Mais bon pour 30 CHF pour 3 mois on va pas faire les difficiles.

A propos de fête nationale,le jour ou nous avons passé la frontiere une fête était organisée avec discours et fanfare, ce qui parait normal, ce qui l'est moins c'est qu'ils faisaient cela au milieu de la route entre les 2 postes frontières. Nous avons juste attendu une heure de plus; mais comme au niveau formalités tout a été vite expédié ça nous a pris le temps habituel.

C'est le dernier jour que nous nous sommes régalés en allant aux îles flottantes habitées par des communautés Uros qui s'y sont ínstallées  depuis des siècles afin de se protéger des Incas et d'autres communautés. Ces  sont fabriquées avec des roseaux qui poussent en abondance dans les bas fonds du lac. Ces roseaux servent de base, superposés en plusieurs couches pour les îles elles-mêmes et pour construire les maisons et les bateaux. Au fur et a mesure que les couches inférieures pourrissent on complète avec de nouvelles couches. Cela donne un sol très souple agréable à marcher dessus.

Malheureusement la popularité de ces îles s'est traduite par un afflux de touristes et je doute un peu de l'autenticité de celle que nous avons visité.

Ensuite nous sommes allés sur une autre îles complètemet différente nommée Taquile et habitée par des communautés Quechua qui évitent les mariages intercommunautaires pour garder leur identité. Elle est  magnifique, ressemblant un peu à l'Isla del Sol de Copacabana, avec la même lumière qui évoque la méditerranée.

Ensuite retour au camping, devant lequel est stationné une ex-canonnière britanique à vapeur. Celle-ci nommé Yavari ainsi que sa jumelle Le Yapura ont été construites à Birmingham en 1862, expédiées en pièces détachées par le Cap Horn, acheminées en train jusqu'à Tacna puis en mules à travers les Andes et remontées sur place. Ce petit voyage a duré 6 ans.

On a passé une superbe journée, nécessaire, avant le trajet du jour d'après jusqu'à Cusco, où nous avons décidé de nous rendre plutôt qu'à Arequipa, la route semblant plus facile.

De plus les garages VW contactés à Arequipa ne nous ont jamais répondus, alors que notre ami Anouar nous aconfirmé l'existence d'un concessionnaire VW à Cusco avec atelier.

Le trajet s'est bien passé, même si le turbo du moteur ne s'enclenche plus et que par conséquent notre fidèle bus manque nettement de pep.

L'arrivée a été chaude,mais ceci fera partie d'un autre article.

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30 juillet 2014

Lac Titicaca et Copacabana

C'est pour la découverte de ce genre d'endoit mytique, que notre blog s'appelle “sur les routes de nos rêves ”. Eh ben on a pas été décu, mais ces endroits se méritent; n'est ce pas Hélène, il a fallu traverser un bras du lac sur des barges, disons rustiques, dans des conditions de vent et de vagues importantes qui faisaient se tordre la barge et se balancer le bus. Moi j'étais dehors pour prendre des photos, et ma belle accrochée au volant, terrorisée. C'est en rentant dans le bus que je me suis apercu de son état,et que j'ai dû la soutenir le reste de la traversée.Il fallait juste la voir, cramponée à mon bras, persuadée que nous allions couler. Mais je vous rassure tout c'est bien passé.

A Copacabana, on s'est installé sur la plage, devant un camping, ou nous avons pu bénéficier de banos aussi rustiques que la barge.

Les petits matins sont frais, en dessous de zéro, par contre les journées sont chaudes et belles, même à l'altitude de 3800 m ou nous nous trouvons. On commence à en avoir un peu marre du froid, et on se réjouis de monter plus au nord et de perdre de l'altitude, mais d'ici là, il y a encore plein de chose à voir et visiter, à conditions que le FAP.......

A Copacabana, nous avons assisté au baptèmes des voitures de touristes péruviens qui tous les week end envahissent la ville. Ce baptème, effectué par un prêtre devant la cathédrale, les voitures toutes décorées de guirlande et de fleurs est vraiment une dérive commerciale de l'église catholique qui ne sait plus comment remplir se coffres, enfin je dis cela, mais on aurait peut être du faire baptiser le bus.....

Nous sommes aussi allés en bateau faire une ballade magnifique sur l'Isla del Sol, c'est à cette occasion que ma belle a “fait” son premier 4000m à pieds. Bon s'accord, on est parti de 3800, mais quand même, il fallait le faire ainsi que les 5 heures de marche en montée et en descente toujour aux environs des 4000m.

 

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30 juillet 2014

P.... de filtre à particules (FAP)

Ce FAP est le tallon d'Achille des véhicules diesel modernes lorsqu'ils quittent notre belle Europe et ses directives en tout genre. Il faut savoir qu'en Amérique du sud et particulièrement en Bolivie et au Pérou le diesel a une teneur en souffre beaucoup plus élevée que chez nous, ce qui encrasse ce FAP très rapidement.

Nous avions entendu parler de ce problème par des voyageurs à Ushuaia, malheureusement beaucoup trop tard, et la Bolivie et le Pérou c'était bien loin à l'époque.

Les solutions paraissaient compliquées, à savoir par exemple, démonter ce filtre et déprogrammer les sécurités liées, ou lorsque il était encrassé, percer des trous dans son enveloppe.

C'est à Salta que ce problème nous a à nouveau préocupé, et que nous avons décider de remplir notre jerrycan avec du diesel argentin. Idem à San Pedro de Atacama où nous avons acheté un bidon additionnel avec du chilien, avec de plus l'idée de passer la frontière bolivienne avec le plein de carburant chilien; ce qui dans notre esprit devait nous permettre, en faisant de savant mélange, avec le carburant bolivien d'arriver au moins au Pérou sans encombre.C'était sans compter sur les petits détours par Tarabuco, Torotoro et pour finir Tiwanacu. Bref, patatras c'est sur la route de Copacabana que le ciel nous est tombé sur la tête avec l'apparition d'un petit témoin sur le tableau de bord “FAP saturé”. Un échange de mail avec Alain ,notre ami de Chens,qui a pris contact avec VW, ainsi que la lecture du manuel VW, nous dit pas de problème, il faut juste rouler une heure en troisième à 3000t/min pour bruler les particules en excès.

Ma cache bonnot, avons effectuer cet exercice plusieurs fois sans aucun résultats. Nous avons décidé à Copacabana d'essayer la solution des trous, là encore no résults, mais le bus se comportait bien. C'est en quittant Copacabana, que le ciel nous a remis un coup sur la tête, avec l'apparition simultanés de 2 nouvelles alarmes, défauts moteur et filtre catalytique, aller voir un spécialiste, ben voyons. De plus le moteur commence à avoir de la peine à prendre les tours. Nous voilà donc à Puno au bord du lac, installé par chance avec le bus dans jardin d'un bel hôtel péruvien avec plein de questions dans la tête.

On fait quoi, on va où, sachant qu'il y a des concessionnaires et ateliers VW à Cusco et Arequipa. On a envoye des mails pour savoir s'ils sont capabes de résoudre notre problème et on attends. De plus pas de bol, c'est ce jour la fête nationale péruvienne et tout est fermé. On est quand même un peu tendu

30 juillet 2014

Tiwanaku

Avant de nous diriger vers le lac Titicaca, Hélène a réussi à me convaincre d'aller voir, le site de Tiwanaku, (un petit détour de 150 km) ruines d'une civilisation précolombienne, apparue avant JC et ayant perduré jusqu'au début de la domination Inca aux environs des années 1450, qui elle n'a duré qu'une petite centaine d'années jusqu'à l'arrivée des espagnols. Comme la plupart des civilisations de cette époque, les Tiwanacu adoraient le ciel avec le soleil, la terre et les divers animaux et le monde souterrain.

Bon à part les 2 musées on a pas été enthousiasmé, c'est vrai que le site a été beaucoup pillé, en particulier par les espagnols pour construire l'église. On a dormi sur la jolie place centrale du village et le lendemain matin départ pour le lac Titicaca.

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22 juillet 2014

La Paz

La Paz, c'est comment dire, totalement nouveau pour nous, totalement bolivien. Tout d'abord elle est situé entre 3200 et 4100 m d'alttude,entourée de pics à plus de 6000m. Construite au fond d'un canyon creusé dans l'Altiplano, pour l'ancienne ville et le centre actuel, et le long des parois de ce canyon pour les parties les plus récentes, et elle monte jusqu'au plateau de l'Altiplano sur lequel est situé le quartier d'El Alto, un petit quartier de env. 600'000 habitants. La Paz dans son ensemble en compte env. 2'000'000. La circulation y est démente, le bruit intense, l'air raréfié et pollué, mais pourtant c'est agréable de s'y promener à pieds, à conditions bien sur d'adopter son rythme aux particularités de la ville. Il y a des musées sympas, des restos délicieux, un marché indigène typique, bref une ville malgré les conditions paticulières intéressante à découvrir.

Après une arrivée un peu rock and roll en suivant des points GPS pour nous faire éviter le centre, nous nous sommes retrouvés devant des rues en escalier ou avec des pentes de plus de 20° dans lesquelles votre serviteur n'a pas eu les c.... de s'y aventurer. Hélène fermant les yeux depuis longtemp. Nous avons fini par nous retrouver dans un cul de sac, d'où il a été seulement possible de sortir en marche arrière entre voitures et précipices. C´était assez chaud. D'autant plus que ayant déjà perdu une heure en nous trouvant bloqué dans le marché d'El Alto, nous commencions à avoir vraiment les boules. Après 2h30, nous sommes enfin arrivés à l'hotel/camping Oberland, tenu par un suisse comme son nom l'indique, et nous nous sommes refait un moral tout neuf devant un émincé de veau à la zurichoise, bien sur accompagné de roestis.

C'est dans ce havre de paix que nous nous trouvons depuis 6 jours,trouvant le remps de visiter la Paz, d'aller au docteur, de faire des analyses médicales qui nous ont montré que nos ennuis gastriques à répétition n'étaient pas sans fondement; résultats: salmonelles et  antibiotiques pour les 2 pendant 5 jours.

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Une petite visite demain chez un mécanicien suisse pour vérifier les freins et l'embrayage qui ont passablement souferts et nous nous dirigerons ensuite vers Tiwanaku, ruines d'une civilisation évolués avant les incas et ensuite vers le mytique lac Titicaca avant de quitter la Bolivie pour le Pérou.

 

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16 juillet 2014

ToroToro

Quel drôle de nom pour ce parc national situé à environ 200 km au nord ouest de Sucre. En réalite, il faut en faire près de 400 pour atteindre ce joyaux naturel perdu au fond d'une vallée atteignable par une route dont je ne suis pas sur qu'elle mérite ce nom. Enfin après 2 jours de voyage nous y sommes enfin arrivé, et franchememnt cela vaut les multiples gling gling dans le bus provoqués par cette p.... de route/piste.

Bon on a mal commencé, car une tourista vicieuse doublée d'une gastro pour Hélène a réfreiné nos ardeurs de ballades les premiers jours. Marre d'être mal dans le bus, on a donc pris une chambre d'hôtel. Il est temps que nous arrivions à La Paz pour aller faire des analyses car ces multiples gastro nous inquiète un tout petit peu. Enfin bref, pas d'inquiétude tout a fini par passer (ah, ah,ah) et nous avons pu faire les randos prévues au programme et on s'est régalé.

ToroToro ce n'est qu'une succession de strates rocheuses de toutes sortes, tordues et malmenées par les bouleversements géologiques durant des millions d'années. De plus l'écoulement et l'infiltration de l'eau à travers les couches calcaires a creusé des grottes et cavernes ouvertes par centaines.

On a marché pas mal, on a fait de la spéléo, de la varappe, Hélène a passé son premier 4+, OK pas en tête, mais avec le guide devant et myself derrière qui poussait si nécessaire; on a vu des traces fossilisées de dinausores impressionantes, on est descendu dans un canyon sauvage, bref on a passé quelques jours superbes.

Ce qui d'aute part nous a surpris, c'est que nous étions à 3800 m, dans un des coins les plus perdu de Bolivie, et qu'il y avait sans arrêt des pueblos et des communautés avec l'électricité.

A mon avis, Toro Toro est avec le salar d'Uyuni et Sucre un des endroits à ne pas manquer en Bolivie.

Nous sommes ce jour à Quillocollo dans un éco camping super sur la route de La Paz où nous arriverons demain soir.

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6 juillet 2014

Sucre 2

Eh ben oui, nous sommes toujours à Sucre sur le trottoir de Audrey et Gael. En fait nous voulions partir jeudi après les matchs de la France et de la Suisse, mais la France rejouait vendredi et Lionel et Nelly nous annoncent leur arrivée pour samedi, alors on se dit on reste jusqu'à dimanche, mais là notre Roger national se qualifie pour la finale de Wimbledon, ce serait dommage de la rater , alors bon, on reste un jour de plus. Départ programmé pour lundi matin, promis il n'y aura pas de Sucre 3.

En attendant je vous mets quelques photos du marché Campesino à Sucre qui est vraiment LE marché typique local. Désolé Lionel de t'avoir coupé la tête.
Encore un grand merci à Audrey et Gael pour leur hospitalité sans limite durant les 19 jours passés chez eux et leur gentillesse durant  tous ces jours. On leur souhaite de pouvoir réaliser leur projet sur Sucre.

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29 juin 2014

Sucre

Depuis maintenant 10 jours à Sucre où nous squattons le trottoir devant la maison de Audrey,Gael et leur adorable fils Jules. C'est un jeune couple de français qui après 2 ans de voyage dans le sens inverse du notre, ont décidé de s'arrêter ici pour ouvrir un camping. Ils sont tous les deux hyper choux, proposant leurs services pour nous aider dans tout ce que nous entreprenons, nous ouvrant leur maison sans réserve du matin au soir, prêtant leur clefs s'ils s'en vont. J'arrête là, ils vont être gênés s'ils me lisent. Bref un vrai bonheur. De plus Gael touche vraiment sa bille en informatique, m'a expliqué comment télécharger des cartes sur notre GPS, gratuitement des livres sur nos liseuses, etc, etc, etc...

Nous avons rencontré également, squattant eux-aussi le trottoir et la maison :
Jérôme, Hélène et leur trois filles
Stéphane, Gaetane et leurs 3 filles
Emilie, Ben et leur fille Zoé dans un super bus construit par eux-mêmes.
Pauline et Yannick jeune couple de Toulouse
On passe des super moments et des soirées sympas.
Si nous y sommes depuis 10 jours, c'est que nous avons besoin de nous retapper après des gastros qui nous ont laissé Helène et moi sur le flanc pendant plusieurs jours, avec nuits sur les toilettes et têtes dans le lavabo. Et de plus pas en même temps; du pur bonheur. Mais là celà va nettement mieux. De plus comme la France joue lundi et la Suisse mardi, on a décidé de ne partir que mercredi matin. Une grosse semaine de plus que prévu.
Il faut avouer que Sucre est une ville vraiment belle et agréable, la plus belle de Bolivie même, remplie de superbes bâtiments coloniaux. La température y est agréable malgré les 2700 m d'altitude et l'hiver austral ; de plus c'est une ville vivante avec des musées, des bars et des restos sympas. On peut aussi y manger pour 3 fois rien, au marché le menu de midi est à 12 BOL soit 1,2 euros. Pas que j'oublie de dire que Sucre est la ville ou fut signée en 1825 la première constitution boliviennes par entre autres Simon Bolivar et que c'est la capitale juridique et administrative de la Bolivie.

De plus Sucre est une ville pleine de contrastes où la richesse de la bougeoisie "européenne" cotoie la pire pauvreté de certains indiens, ou l'on voit des jeunes filles modernes à coté de Cholita en tresses et costume traditionnels.
Pour la petite histoire, nous sommes bien entendu tous allés voir le match France-Suisse, je vous laisse imaginer comme je me suis fait chambrer, moi seul suisse avec tous ces français, après la pière performance de notre équipe nationale. La honte totale.
On a aussi dû aller en douane pour faire prolonger l'autorisation du bus, car s'ils nous avaient donné un visa de trois mois, le bus lui n'avait qu'un mois, mais tout c'est arrangé.
Entre 2 touristas, nous sommes allés visiter le marché aux textiles de Tarabuco, un village Quechua situé à 60 km de Sucre, très typique mais envahi par les touristes, c'est le dernier moment pour y aller et voir encore un village authentique.

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19 juin 2014

Potosi

Après le salar et les 200 km de route asphaltée (que ca fait du bien) de l'Altiplano et ses paysages toujours aussi magnifiques, nous voici arrivés à Potosi, ville minière de plus de 100'000 habitants située à 4000 m. Bonjour la respiration. Nous décidons de faire les bourges et prenons un hôtel avec tout le confort moderne, incluant chambres chauffées, douches chaudes et WIFI.

Au programme visite de la ville, mise à jour du blog, coiffeur pour Michel, lavage du linge sans devoir chercher une lavaredo, petits restos.

Par chance nous sommes tombés sur un jour de marché très typique ; les différentes marchandises sont simplement posées au sol sur des bâches en quantités industrielles.

Cette ville surprenante fondée en 1545 tout en style colonial comportant de superbes bâtiments, fût d'abord très riche, grâce la montagne d'argent qui la domine,(le Cerro Rico) qui a surtout enrichi les espagnols. Elle fût une des plus grande ville des Amériques, comptant jusqu'à 200'000 habitants à son apogée. Elle s'est endormie quand les gisements furent épuisés et à vu alors sa population passé à moins de 10'000 habitants. Aujourd'hui elle revit grace aux gisements d'abord d'étain, ensuite de zinc et de plomb.

 

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18 juin 2014

Salar de Uyuni

Un des hauts point du voyage jusqu'à présent, c'est juste magique. Il faut imaginer une étendue de sel d'environ 12000 km2, soit un bon quart de la Suisse, toute plate, avec seulement quelques îles isolées. Un seul tout petit bémol, il y a eu une tempête de sable il y a 15 jours, qui a fait passer la surface d'un blanc éblouissant à un léger jaune ; mais cela reste plus que superbe

Nous dormons à l'abri de l'île Incahuasi, un grand rocher couvert de cactus, tout seul dans notre bus, tous les tours opérateurs étant partis. Un beau coucher de soleil et dodo après avoir vidangé les circuits d'eau du bus et mis de l'antigel, because les -10 à -15°C qu'il fait la nuit. Reveil à 7 heures pour admirer le lever de soleil. Hélène pas très courageuse sur ce coup là prend les photos par la fenêtre couchée dans son lit.

On est plus seul, car d'autres tours opérateurs sont déjà là avec leur 4x4 et leurs clients frigorifiés. Ils se sont levés à 5 heures et prennent leur petit déj à l'ombre alors que l'on est si bien au soleil. Nous avons le plaisir de retrouver Roland qui va de San Pedro à Uyuni en passant par le salar.

Nous avons rencontré Marc, un habitant de Coire, qui voyage toutes les années 3 mois à vélo à travers l'Amérique du sud.Nous le retrouverons le lendemain à Uyuni accompagné de son compagnon de galère norvégien, un type sympa mais un peu fou ; c'est en leur compagnie que nous regarderons la Suisse gagner son premier match de justesse.

 

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  • Notre voyage de Montevidéo à Halifax en passant par Ushuaia, la remontée des 2 amériques jusqu'en Alaska et la traversée du Canada, en Bus VW T5 + les 2 traversées de l'Atlantique. On repart vers l'Australie mais sans notre bus.
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