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Sur les routes de nos rêves

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24 février 2016

L'eau, la vie

Ouais je sais c'est le super cliché. Mais il faut juste imaginer que nous sommes en plein désert de Vizcaino, rien à moins de 75 km dans toute les directions, et tout d'un coup, dans une très légère dépression, une oasis avec des palmiers par millers, une lagune verte et au milieu de cette oasis de verdure, San Ignacio et sa mision jésuite fondée en 1728. De plus nous sommes arrivés en pleine fête villageoise, alors cette oasis mérite ce coup de coeur.

L'église de la mission jésuite

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les danseurs en costumes folkloriques et en plein efforts

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Mmm les bonnes huitres sur le grill

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le contraste total, à peine 1 km entre les 2 photos

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24 février 2016

Une église spéciale

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C'est à Santa Rosalia au milieu du village, que nous trouvons l'église Santa Barbara. Construite par Gustave Eiffel pour l'expo de Paris de 1889, elle fût ensuite démontée et transportée d'abord à Bruxelles puis en Afrique de l'Ouest. C'est à l'instigation d'un des propriétaires des mines d'El Boléo qu'elle fût ensuite redémontée et transportée en Baja California. Pas spécialement jolie, elle est intéressante commeun exemple précoce d'architecture préfabriquée.

 

21 février 2016

Baja California Sur

Nous allons quitter dans 2 jours le sud de la basse californie et sommes un petit peu mitigés. Bien sur, nos attentes étaient grandes, à la hauteur de ce que nous avions lu et entendu. Nous avons trouvé une ou deux plages de rêve ou nous étions pratiquement seul au monde, mais nous avons aussi trouvé des campings bondés, des plages idylliques ou les retraités américains dans les camping-cars géants s'alignent en rang d'oignions et se font bronzer le bide en restant toute la journée sur leurs chaises avec les pieds dans la mer.

Peut être sommes nous devenus difficiles avec tout ce que nous avons vu et vécu dans ce merveilleux Mexique, peux être que le temps grisounet sur la Bahia Conception, tellement vantée, ne nous a pas permis de l'apprécier à sa juste mesure. Je ne sais pas si nous sommes passés à côté de quelque chose, mais nous la quittons avec des regrets provoqués par la déception.

Je ne peux pas ne pas mentionner cette visite rapide à Cabo San Lucas qui ressemble tellement à une caricature de Cancun et Puerto Vallarta de par la marina chicos et ses hôtels en front de mer sur le “ Boulevard des touristes”. Même les distributeurs à billets ne délivrent que des dollars US !!

Une rapide excursion marine, qui sera notre seul plaisir à CSL, nous aura mené à l'arche située à la pointe de ce cabo, et à la fenêtre qui sépare la mer de Cortes de l'océan pacifique. Même le repas a été gâché par l'addition plutôt élevée.

Je ne peux pas non plus ne pas mentionner notre excursion maritime de Puerto San Carlos ou pendant 4 heures nous avons navigué après les baleines. Une rencontre avec une mère et son petit qui sont passé sous notre barcasse nous a fait vivre de belles émotions. A par cette rencontre, avec les autres baleines c'était comme avec une femme qui se fait désirer et se dérobe. Chaque fois que nous approchions d'une d'entre elles, elle plongeait pour réapparaître au loin. Mais dans ce cas là on n'a pas le droit d'être déçu, tant cela fait partie de leur façon de se comporter. Et quelle grâce chez ces mammifères de plusieurs tonnes quand elles plongent en sortant leurs queues. La journée c'est de plus très bien terminée avec un bon repas partagé avec Prudence et Peter, un couple ricain de Berkeley, progressistes et sympas.

Nous partons demain pour San Ignacio porte sud du désert de Vizcaino où nous sommes sûrs de voir des paysages superbes. Ensuite encore une tentative de voir les baleines à la limite des 2 basses californies et nous continuerons de remonter cette péninsule jusqu'à la frontière US, terminal de notre voyage dans le monde hispanique.

Lever de soleil sur la mer de Cortes

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Un kite surfer volant

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On était bien

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Là aussi c'était pas mal

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L'arche de Cabo San Lucas et la fenêtre

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On n'aime pas

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Ils sont jolis avec leurs petites casquettes vertes, my god, si on se perdait....

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Des oiseaux par miliers

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La mère et son petit qui vont nous passer dessous

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Et hop, on disparaît

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Ça pourrait être sympa, si...

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C'est pas trop dur la vie

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14 février 2016

Les Barrancas del Cobre et El Chepe

Les Barrancas del Cobre sont un ensemble de 7 cañons plus grands que le Grand canyon du Colorado. C'est du moins ce que prétendent les mexicains.Les sommets culminent aux alentours des 2400 m et le cañon le plus profond descend jusqu'à 700 m, soit 1700 m de dénivellé. Paysages et températures de montagne au sommet et tropicaux au fond.

Le train qui mène à ces bararrancas est le dernier train de voyageurs du Mexiqe. Il nous emmènera de 0 à 2400 mètres en plus de 9h30. Depart à 6 heures du mat, pour plus de 4 heures dans la plaine du Sinaloa. Ces 4 heures ne sont pas et de loin les plus intéréssantes. On aurait pu se les épargner en allant en voiture jusqu'à El Fuerte, mais on est toujours plus intelligent après qu'avant. La deuxième partie est bien plus intéressante et plus belle. Le train se faufile au fond d'un cañon en prenant petit à petit de l'altitude. Nous allons traverser plus de 70 tunnels et passer sur plus de trente ponts; c'est très beau et spectaculaire, on en prends plein les mirettes. On se retouve sur un plateau à 1500 m où les épineux on remplacé la forêt tropicale sèche. Paysage alpin classique. Cette forêt tropicale sèche occupait il y a 500 ans plus de 500'000 km2 allant jusqu'au Panama. Il n'en reste ce jour que 10%, principalement dans la région traversée par le train. A partir de 1500 le train va monter par paliers jusqu'à 2400 m en traversant des vallées tortueuses et des villages indigènes ou toutes les femmes sont encore en costumes traditionnels. On atteindra Creel, station de montagne, en fin d'après midi où un hotel réfrigérants nous attends. Un petit resto et hop au lit. Le matin la température extérieure est de -3°C, oups, heureusement que nous avions prévu le coup. Nous passons la matinée dans un des cañons où nous pouvons descendre, et surtout remonter, en téléférique de construction autrichiennes et suisse. C'est absolument impressionnant et superbe. A 13 heures il faut prendre le train pour redescendre à Los Mochis prendre le Ferry pour la Baja ou nous sommes installé à l'heure où j'écris ces lignes. Cette région au coeur du Chihuahua mériterait bien plus que les quelques heures que nous y avons passées, mais le temps basse et la Baja nous attend.

Nous aussi on fait des selfies

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Le profil du parcours

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La forêt sèche tropicale

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Le train El Chepe

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En altitude

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Pueblos typiques

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La pierre ...fertile

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LA BARRANCA DEL COBRE

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The balancig stone, qui se balance sur plusieurs centimètre quand on monte dessus, en dessous 100 m de vide, vertige s'abstenir.

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En montant, au fond du cañon

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Costumes traditionnels

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Creel

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14 février 2016

LOS MOCHIS – le couac

C'est dans cette ville moderne que nous arrive le premier “pépin” de ces 4 mois au Mexique. En quittant un stop et en tournant à droite Hélène ne voit pas un motard arrivant trop vite de la gauche.Gros coup de frein du motard et joli vol plané. Bien évidemment c'est la faute des gringos. Les flics débarquent (pas moins de 3 voitures) et commence alors les palabres sans fin. J'oublie de dire que le jeune motard n'a que des éraflures superficielles.

Pour finir on trouve un arrangement avec le jeune homme et sa mère qu'il a fait venir, mais cet arrangement doit être formalisé sur document officiel, où nous reconnaissons nos tords, ce qui nous coûte 700 pesos. Mais ceci n'est rien comparé à l'arnaque à venir de la police. Ils nous disent que nous sommes en infraction et que nous devons payer une amende de 1500 pesos( env. 80 Euros). Pour cela il faut aller au poste de police, qui est comme par hasard fermé. Pas de problème, nous dit un des flics, vous pouvez y aller demain matin; mais nous avons déjà pris nos billets de trains et serons absent 2 jours,problèmes. Fatigués par les km du jour et les 2 heures de palabres, nous finissons par accepter une proposition des 2 flics, pour une somme moindre. En beaucoup moins de mots “on s'est bien fait baiser”. On aurait du appeler la police touristique.

Nous oublions tout cela le soir en se tappant la cloche dans un super restaurant, ou nous rencontrons un couple de mexicains sympas qui veulent à tous prix nous payer des coups. Je m'en tire avec 2 verres de rouge et le moitié de celui d'Hélène. Additionné à ce que j'avais déja bu, la rentrée à l'hôtel était quelques peu vacillante.

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14 février 2016

La remontée de la côte pacifique

De Punta Perula nous avions l'intention dans un premier temps de remonter jusqu'à Mazatlan pour prendre le Ferry pour la Baja California. Le premier jour nous mène à Sayulita en passant par Puerto Vallarta, station balnéaire chicos, un peu genre Cancun, mais en beaucoup plus sympa quand même car possédant une vieille ville, nous nous y arrêtons juste pour faire des courses au Walmart (on se prépare doucement au USA). Sayulita est une petite ville sympa remplie de baby boomer américains à la retraite et de surfeurs. Il y a une ambiance très cool et nous y serions bien restés quelques jours de plus, mais le camping pratiquait des prix prohibitifs, pas étonnant car rempli de ricains. De plus le temps commence à nous presser.

Nous passerons lors de ces 3 jours de paysages de jungle tropicale à ceux de cultures de toutes sortent, en particuliers maïs, blé et chili.

Tous les camping en bord de mer sont soit fréquentés par des ricains, soit par des canadiens anglais et/ou français. Tous ces gens ne se mélangent pas beaucoup entre eux et ne semblent pas vraiment s'apprécier. Nous avons même rencontré une canadienne anglaise parlant parfaitement le français car petite fille d'émigrés savoyards et qui parle des canadiens français comme “ les cochons de français”. Cela nous a choqué car nous mêmes ne parlons jamais des suisses allemands en ces termes. C' était certainement un cas extrème mais cela montre l'ambiance. C'est le jour suivant en quittant un bivouac où nous sommes seul au monde que nous décidons de changer de programme et de remonter jusqu'à LOS MOCHIS pour prendre le train jusqu'à la “ La Barranca del Cobre”. Cela implique deux bivouacs et surtout des km en plus. Nous allons de plus rouler dans le Sinaloa un état qui n'est et de loin pas reconnu comme le plus sécuritaire. Mais l'envie du petit train est plus forte que tous les “bons” conseils reçu et nous arriverons à Los Mochis sans encombre.

Tout ce qu'on n'aime pas

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Là on aime plus

 

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Et là beaucoup plus

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On dirait pas non

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Pas mal

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Quand je disais babacool

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5 février 2016

Une belle rencontre

C'est à Punta Perula, que nous nous arrêtons pour quelques jours. Cela fait vraiment du bien de retrouver la chaleur d'autant plus que les nuits sont fraiches. C'est un petit village sans réel intérêt comme il y en a des centaines au bord de toutes les mers du globe. Nous trouvons notre bonheur dans un camping pas très grand à l'ambiance bon enfant. Tous les autres campeurs sont canadiens, en grande majorité francais.

C'est lors d'une soirée sur la terrasse surplombant la plage que nous rencontrons un couple atypique. Tous les 2 agés d'environ septante cinq ans, il campent sur la plage dans une toute petite tente sans aucun comfort. Nous leur offrons l'apéro, discutons de nos projets respectifs et ils nous parlent un peu d'eux même.

Lui est né de père francais et de mère genevoise, mais est argentin étant né à Bariloche où son père était en déplacement; il a connu sa femme dans un kiboutz israélien lors d'un autre déplacemet de son père. Il est tapissier à l 'ancienne et réalise ses tapisseries sur la base des peintures de sa femme artiste peintre. Ils vivent moitié au Mexique dans la montagne et moitié à Berkeley en Californie où ils possèdent leur entreprise de tapisserie. De temps en temps ils descendent de leur village de montagne pour venir à la mer. Ces gens sont adorables, curieux et ont gardés une jeunesse d'esprit remarquable.

J'espère que j'ai pas raconté trop de bêtise Jean-Pierre!!

Que dire de plus, sinon que nous avons passé un moment délicieux en leur compagnie et que nous les avons quitté sur la promesse de venir les voir lors de notre passage en Californie.

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Miracle de la technique des nouveaux appareils digitaux, 2 photos prisent du même endroit au même moment, dans la direction opposée

 

30 janvier 2016

Vamos à Guadalajara

Une fois mon taux d'alcool redescendu à une valeur normale nous prenons la route pour Guadalajara pour une visite de plus dans les ateliers de VW. Cela ne va être que la huitième agence que nous visitons depuis notre départ il y a 2 ans.

Nous passons par la Laguna de Chapala pour soigner l'angine d'Hélène qui s'est à nouveau réveillée. Une visite au dispensaire municipal qui nous coûte 40 pesos(env. 2.50 CHF) et nous voilà tous les deux nantis d'antibiotiques de façon à ne pas se repasser sans arrêt nos microbes. L'auto médication cela va bien un moment, n'est ce pas Hélène.

Ensuite départ pour Guadalajara prendre rendez-vous chez VW et pour notre bivouac à Villa Corona au bord de la Laguna Atotonilco. Une petite erreur d'aiguillage nous fait faire 50 km de trop et de belles photos d'une laguna transformée en salar. Retour le lendemain chez notre garagiste préféré et pour une visite rapide de Guadalajara. Deuxième ville du Mexique, nous n'y passerons que 5 heures, le temps de flâner, de visiter l'institut Cultural de Cabañas et les fresques murales deJosé Clemente Orozco traduisant les combats symboliques pour la liberté et de visiter bien entendu la cathédrale magnifique de puissance et se faire une petite bouffe. Il est alors temps de récupérer notre carrosse favori. Il est évident que cette ville mériterait plus ques les quelques heures que nous y avons passées, mais d'une part le temps passe vite et d'autre part les 60 km(dont 25 en urbain qui nous séparent de notre bivouac nous freine pas mal.

A l'heure ou j'écris ces lignes nous sommes de retour à Villa Corona pour notre dernière nuit en Altitude. Demain matin, départ pour la côte Pacifique et ses chaleurs. Ma belle se réjouit déjà.

Sur la route

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La Cathédrale

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Le théâtre

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L'Institut Culturel de Cabañas

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29 janvier 2016

Charly's et Valentin

Lors de notre retour au Mexique nous avions rencontré un allemand qui nous avait dit : il faut absolument que vous alliez chez Charly, un suisse qui tient un resto superbe entre Guanajuato et Guadalajara. Ce genre de conseil ne tombe jamais dans l'oreille d'un sourd; tout de suite nous imaginons roesti et émincé de veau a la zurichoise.( pour les non suisses, émincé veau dans une sauce à la crème et au champignons).

Nous sommes accueillis à bras ouvers par Charly qui nous installe dans le parc de son resto et sommes conviés pour le repas du soir à la “stammtisch” ( toujours pour les non suisses, la table des habitués....mais un peu plus que ca).

Nous y rencontrons Valentin, un entrepreneur suisse installé ici depuis plus de trente ans qui diriges un moulin industriel à blé et d'autres suisses allemands en vacances dans le coin. Nous passons une excellente soirée devant un superbe repas, arrosé de vins argentins et de Tequila.

Le lendemain sur les conseil de Valentin, nous nous rendons à la ville proche chez une de ses relations pour changer nos pneus à des prix imbattables.En revenant, nous visitons son moulin complètement automatisé qui traite 18'000 tonnes de blé par année, visite impressionante qu'a beaucoup appriécé l'ex-ingénieur que j'étais dans une autre vie. J'ajouterai que la région que nous traversons, toujours sur l'Altiplano est le grenier à blé du Mexique.

Et le soir rebelote à la “stammtish”, suivi de la victoire de Federer contre Berdych devant la TV. Il était temps que nous quittions le Charly's car mon taux d'alcool avait tendance à atteindre des sommets.

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28 janvier 2016

Guanajuato

C'est avec regrets que l'on quitte San Miguel, d'autant plus que Connie nous annonce une “party” pour le samedi soir à venir. Mais bon, faut bien avancer, et de plus nous partons pour Guanajuato une merveille de plus de ces villes coloniales de l'Altiplano mexicain.

Et l'on ne sera pas décu. Cette ancienne cité minière, devenue une ville universitaire est classée au Patrimoine Mondial; construite dans un étroit canyon, elle est traversée par de nombreux tunnels, eux même construits pour la plupart dans le lit d'anciennes rivières. Il faut bien avouer que la circulation peut y être un cauchemard, car bien entendu dans les tunnels et leurs nombreuses ramifications pas de GPS. Courageux, mais pas téméraires, nous prenons un camping en dehors de la ville et nous nous y rendons à pieds, en collectivos et retour le soir en taxis.

Elle arbore de jolies places, des bâtiments aux tons pastels et de fastueuses demeures construitent par les “barons” de l'argent. Le Guanajuato possédait des mines d'argent, d'or de cuivre et d'autres métaux qui ont fait la richesse de ces barons qui vivaient dans l'opulence alors que les indiens étaient exploités d'abord comme esclaves puis comme employés sous payés.

Le théatre est splendide et les diverses basiliques et églises de toute beauté. Nous y avons très bien mangé, avons eu le plaisir de visiter la maison natale de Diego Rivera( voir l'article sur Mexico) transformé en musée. Nous terminons cette journée bien remplie par un concert de flûte et guitare d'artistes locaux.

Les parois du cañon

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Le musée de Diego Rivera

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 L'université

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L'entrée de l'un de ces fameux tunnels

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La Basilique

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Une des nombreuses églises

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Le luxueux théâtre

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Tiens,une touriste

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Les belles places

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Et bien plus encore

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Sur les routes de nos rêves
  • Notre voyage de Montevidéo à Halifax en passant par Ushuaia, la remontée des 2 amériques jusqu'en Alaska et la traversée du Canada, en Bus VW T5 + les 2 traversées de l'Atlantique. On repart vers l'Australie mais sans notre bus.
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